Aller au contenu

Assemblée nationale (Rishon)

De Rishon
Assemblée nationale

XXVIe législature de la Troisième République Rishonnienne

Présidence
Président Alexy Crescence (UDR)
Élection 9 juillet 2024
8 juillet 2025
Structure
Membres 435 députés
Description de cette image, également commentée ci-après
Composition actuelle.
Groupes politiques

Gouvernement (340)

Opposition (95)

Élection
Système électoral Uninominal majoritaire à deux tours
Dernier scrutin 29 juin et 6 juillet 2024

Palais Zikaron

L'Assemblée nationale est l'organe législatif monocaméral de la République de Rishon débat, propose, amende et vote les lois, contrôle l'action du Gouvernement et évalue les politiques publiques. Elle peut également forcer la démission du Gouvernement par le vote d'une motion de censure. L'Assemblée siège au Palais Zikaron, à RCity.

Aux côtés du Sénat, qui représente les collectivités territoriales, et du Conseil constitutionnel, chargé du contrôle de constitutionnalité, elle constitue l'un des trois piliers du pouvoir législatif et normatif de la République. Le Sénat assure un rôle de stabilité institutionnelle, tandis que le Conseil constitutionnel veille au respect de la Constitution et peut être saisi par les députés, les sénateurs ou le président de la République.

Depuis la réforme institutionnelle de 2024, l'Assemblée nationale compte 435 membres, appelés « députés », élus au suffrage universel direct au scrutin uninominal majoritaire à deux tours pour une durée d'un an. Depuis le début de la XXVIe législature en juillet 2025, le groupe majoritaire est celui de Rishon en Mouvement. La présidence de l'Assemblée est assurée par Alexy Crescence, élu le 9 juillet 2024.

L'assemblée nationale siège au Palais Zikaron à RCity, dans un bâtiment qui accueille depuis 1833 tous les parlementaires et leurs collaborateurs. Sa façade monumentale donne sur l'avenue Zikaron.

L'histoire de la représentation nationale depuis la fin du XIVe siècle est étroitement liée à celle du principe démocratique et du chemin accidenté qu'elle a dû parcourir avant de trouver dans les institutions rishonniennes la consécration qui est sienne aujourd'hui.

Si les Rishonniens ont périodiquement élu des représentants depuis 1332, le mode de désignation et les pouvoirs de ces mandataires ont considérablement varié selon les époques, les périodes d'effacement de l'institution parlementaire coïncidant nationalement avec un recul des libertés publiques.

C'est en 1831 que David Zikaron alors président de la République, propose la construction d'un nouveau palais pour accueillir l'Assemblée, et pouvoir augmenter le nombre de députés, alors fixé à 139. La proposition est acceptée par la grande majorité des députés, et la construction commence dans un quartier jusqu'alors laissé à l'abandon. Elle s'achèvera en 1833, augmentant le nombre de place à 340, et lancera la modernisation de ce quartier, avec la rénovation de la Gare Sainte Marie, et la construction de nombreux immeubles.

En 1922, le parlement vote à l'unanimité pour un agrandissement du palais de l'Assemblée, les travaux durent 8 mois, des nouvelles circonscriptions sont crées et de nouvelles élections sont tenues afin d'élire les députés des nouvelles circonscriptions. L'Assemblée compte alors 374 députés.

En 2023, chaque député représente en moyenne 214 000 citoyen, ce nombre est considéré comme trop élevé par l'UA, qui dénonce un problème démocratique. En décembre 2024, 2 semaines après le début de la XXIVe législature, le gouvernement met au vote un nouvel agrandissement de l'Assemblée nationale, qui est adopté à l'écrasante majorité. Les députés du Parti de Gauche ont dénoncé une ingérence de l'UA dans les affaires internes à Rishon. Les travaux débutent en janvier 2024 et durent jusqu'au 4 juillet. Le 9 juillet, date de l'ouverture de la XXVe législature, ce sont 435 députés qui ont pu siéger sur les nouveaux bancs de l'Assemblée.

Pour la première fois de la Troisième République, un parti d'extrême droite qui est en tête lors de la XXVe législature et un président du même parti est élu président de l'Assemblée.

Le président de la République peut dissoudre l'Assemblée nationale. Ceci ne peut être fait plus de deux fois par mandat présidentiel. Une dissolution entraîne automatiquement la tenue d'élections législatives qui sont dites alors « anticipées ».

Depuis 1833, il y eut dix neuf dissolutions.

Élection des députés

[modifier | modifier le wikicode]

L'Assemblée nationale est composée de 435 sièges pourvus pour cinq mois au scrutin uninominal majoritaire à deux tours dans autant de circonscriptions.

Est élu au premier tour le candidat qui réunit la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de voix au moins égal au quart (25 %) des électeurs inscrits dans la circonscription. Si aucun des candidats ne satisfait ces conditions, un second tour est organisé entre les candidats ayant réuni un nombre de voix au moins égal à un huitième des inscrits (12,5 %) ; les deux candidats arrivés en tête du 1er tour se maintiennent néanmoins par défaut si un seul ou aucun d'entre eux n'a atteint ce seuil. Au second tour, le candidat arrivé en tête est déclaré élu.

Le seuil de qualification basé sur un pourcentage du total des inscrits et non des suffrages exprimés rend plus difficile l'accès au second tour lorsque l'abstention est élevé. Le système permet en revanche l'accès au second tour de plus de deux candidats si plusieurs d'entre eux franchissent le seuil de 12,5 % des inscrits. Les candidats en lice au second tour peuvent ainsi être trois, un cas de figure appelé « triangulaire ». Les second tours où s'affrontent quatre candidats, appelés « quadrangulaire » sont également possibles, mais beaucoup plus rares.